
Jean-Georges HIRN
Mulhouse 1777-1839 Logelbach
« Nature morte aux fruits et carafes »
huile sur cuivre, 52,5×42 cm
A la fin du 18e et au cours du 19e siècle, l’Alsace a connu une importante industrie textile. A l’instar des soieries lyonnaises, les modèles sont fournis par des peintres talentueux. Jean-Georges HIRN fait partie de ces derniers. Il va entrer à la Manufacture Haussmann en 1802. Rapidement, son talent, dans le domaine des peintures de fleurs dont témoignent les tableaux sur cuivre conservés au Musée Unterlinden, lui valent une belle reconnaissance comme peintre de chevalet.
Ici, nous avons la chance de pouvoir vous présenter une paire typique de cet artiste, rare sur le marché.